En is het niet aan het oude ras van trotse burgers, aan de verbeten, bijna religieuze arbeidslust (...), dat de stad die morele, intellectuele en fysieke kracht dankt.
Maurice Maeterlinck: Bulles bleues (1948), p. 80 & 113
Ma bonne-maman (à Swynaerde)
Maeterlinck beschrijft uitgebreid zijn herinneringen aan kasteel Rijvissche in Zwijnaarde, waar zijn grootmoeder hen geregeld vergastte op een eet- en drinkfestijn.
(Vanwege het auteursrecht is het fragment hier beperkt tot enkele regels, nvdr)
Mais la dernière station chez la grand-mère maternelle dépassait tous les rêves et toutes les prévisions. (…) Au pied de chaque table s’étalaient, scrupuleusement reproduits dans le ciel, les jouets que nous avions choisis nous-mêmes à “la foire de Leipzig”, dans une vieille maison flamande, sous le beffroi et tenue par deux innocentes et vielles filles, les sœurs Le Broquy, mandatrices attitrées de Saint Nicolas. (…) Nos deux grands fêtes de l’année étaient les déjeuners à la campagne chez la bonne-maman. C’était à Swynaerde, un petit village aux environs de Gand. Elle y occupait un château-ferme qui avait appartenu aux Dominicains; une vieille et longue maison flamande blanche à pignons en escalier, charmante, dans un jardin délicieux. On prétendait que des moines étaient enterrés dans la crypte, sous la salle à manger. (...)
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