Mijn gezant vermoordden ze, mijn kasteel verbrandden ze / (...) God sta bij de heer die 't als lot beschoren kreeg / te tuchtigen zulk een bende.
Maurice Maeterlinck: Bulles bleues (1948) p. 31-33
Les “Petites Ailes”
Dat de Gentse burgerij in de 19de eeuw ook Victoriaanse trekjes vertoonde, lezen we in onderstaand fragment, waarin Maeterlinck de omgang schetst met zijn vaders maîtresse.
(Vanwege het auteursrecht is het citaat beperkt tot enkele regels, nvdr)
Son ami l'avait incité à prendre une maîtresse. Il était de notoriété publique à Gand que tout bourgeois d'une certaine classe en avait une. (…) On recrutait facilement ses amours chez les petites mains, modistes, couturières, bref dans le menu fretin qui ne coûte pas cher.
Les bourgeois les mettaient en chambre, et pourvues de mensualités modérées, elles faisaient elles-mêmes leur ménage, leur cuisine et leur lessive. (…) La morale locale interdisait de se promener avec son amie, mais on pouvait l'accompagner incognito dans un petit voyage à Bruxelles afin de déjeuner ou dîner dans un bon restaurant.
Ils appelaient ces petites amies "leurs Petites Ailes". (…)
Mon père avait naturellement pris une "Petite Aile"; il y eut même un incident assez scabreux. J'avais une maîtresse et, ignorant qu'elle m'appartenait, il lui avait fait la cour. (…)
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